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fiche d'élevage antaresia perthensis

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Message  chris42210 Sam 23 Oct - 17:08

D’après:
fiche d'élevage antaresia perthensis A1193610
Python pygnmé
Antresia perthensis (stull 19322)
Texte original Glen Gaikhorst

fiche d'élevage antaresia perthensis Antare11
Le python pygmé Antaresia perthensis est aussi connu sous le nom de python nain, de python de children occidental ou python des antilles. C’est le plus petit python du monde, atteignant une longueur maximum de 62 cm. Le python pygmé est endémic de l’australie occidentale et se rencontre de goldsworthy au nord ( région de pilbara), jusqu’au nord de de west cape au sud de mullewa dans le mid west ( région de murchinson et de gascoyne), et à l’est de willuna.

fiche d'élevage antaresia perthensis 250px-10

Leur coloration varie apparement en fonction de leur habitat et peut-être brun-rougeâtre (rouge-brique) à jaune/orange sable ou de couleur «terracotta».
La plupart des spécimens ont un patron composé de taches sombres où de barres. La coloration est très prononcée chez les juvéniles, mais tend à s’estomper ou à disparaitre au fur et à mesure que l’animal vieillit ( Barker & Barker 1994).

Cette espèces ressemble beaucoup à A.childreni mais diffère de par le nombre d’écailles. Avec un nombre de 31-35 rangé au millieu du corps (coger 2000), 212 à 250 écailles ventrales et 34-35 écailles subcaudales ( Barker & Barker 1994).
Le nom de perthensis vient d’une erreur de localité quand stull décrivit l’espèce en 1932.
On pensait que le spécimen type était originaire de perth, en australie occidentale alors que l’espèce n’est pas présente dans cette région.

Le pyhon pygmé est une espèce commune dans toutes son aire de répartition bien que plus rares de les régions les plus au sud. Il est possible que ce soit due à un manque d’habitats appropriés.

Le departement de l’environnement et de sa conservation (DEC) à placé l’espèce dans la catégorie «moindre préoccupation». Les python pygmés peuvent être rencontré dans beaucoup d’endroit de leur zone de répartition qui sont des parcs nationaux où des reserves naturelles.

Ce petit python est terrestre et solitaire et occupe différents types d’habitat soit les plaine de sable cotière du district de pilbara dominé par les plantes de type spinifex comme trioda sp. et les forêt d’accacia sp dans les rochers de grès, de granite, d’ironstone ou près des affleurement rocheux.

ironstone:
fiche d'élevage antaresia perthensis Downlo11

triodia sp:
fiche d'élevage antaresia perthensis Downlo10

L’espèce peut également se rencontrer dans les gorges et les cavernes de la région de pilbara. Ils peuvent aussi utilisé les termitière des termites Eutermes triodiae comme abri, pour trouver de la nourriture ou éventuellement comme site de ponte. ( Kend 1997, cogger 2000). Leur aire de réparttion s’arrête aux zones d’environnement arides qui ont une saison des pluies limitées. Durant les bonnes saison, la saison des pluies arrive en novembre et jusqu’à mars dont une partie avec des pluies tropicale à l’extrème nord de la région de Kimberley. Occasionnellement des cyclones arrivent du sud ouest ( juin à aout) atteignant généralement les region de pilbara de gascoyne et de murchinson.

Le comprotement du python pygmé est similaire aux autres especes du groupe de python de children. Il est considéré comme nocturne, souvent observé traversant les route et généralement actif la nuit lors des mois les plus chaud de l’année.
Cependant j’ai pu observer,3 spécimens actif et se chauffant au soleil durant la journée. Le premier fut observé étant actif sous le soleil de fin d’après-midi à l’ouest d’une surface rocheuse. Le second fut observer dans une caverne peu profonde consommant une chauve-souris en milieu d’après-midi. Le dernier était un sub-adulte se réchauffant au soleil dans une crevasse à l’est d’une face rocheuse.

Dans la nature c’est une espèce placide qui tente rarement de mordre lorsqu’elle est manipulée. Occasionnellement, effrayés ils adopte une position défensive et ouvre la bouche pour se protéger, où se mettent en boules, cachant leur tête au centre de celle-ci.

Lors de mes observations personnal, j’ai observé les pythons pygmés se déplacé de quelques centaines de mètre pour trouver un habitat qui leur convenait; souvent un affleurement rocheux ou un lieu densément recouvert par des plantes du genre spinifex.
Les jeunes furent vus dans des zones dense de spinifex ou des endroits rocheux. ils étaient blottis à la base de la plante en position d’embuscade. Surement est-ce une stratégie pour capturé les geckos ou les scinques imprudent s’approchant trop près.
Ce comportement est souvent observé en captivité quand les juvéniles ou les adultes se tiennent devant leur cachette.

Gestion captive:

En captivité A. perthensis à des comportements varier. Les males ont tendances à être plus actif que les femelles, qui semble passer plus de temps dissimuler ou se réchauffant. Les couples peuvent être maintenu ensemble, bien que lors des nourrissage il soit nécessaire de controller qu’un sujet n’est pas une réponse alimentaire excessive en s’en prenant à l’autre. Les males ont été observés ayant un comportement agressif entre eux, particulièrement lors des mois frais et au début du printemps. Ces affrontements commence quand les males dominant sentent, mordent et s’enroulent dans des mouvement rapides sur le male dominé. Ceux-ci sont alors séparés.

Les pythons pygmés ont été maintenu séparément dans des boites de types tupperware de la même taille qu’une boite à chaussure ( Hoser 1999). Il y à très peu de donné sur la taille des terrariums nécessaire pour le maintien en captivité d’A.perthensis. J’ai observé que les premier spécimens furent élevé dans des terrariums de 60 cm à 90 cm de long et 30 cm de large. Ceux-ci était fabriqué spécialement ou c’était des aquariums modifiés.

Barnard (1996) recommande une taille équivalente à : longueur 75% de la longueur de l’animal, largeur et hauteur de 50% de la longueur de l’animal pour un serpent terrestre.
En se basant sur ces informations et sur la taille de 60 cm pour le serpent ( Taille maximum chez A.perthensis), la taille minimale de l’enclos pourra être de 45 cm de long, 20 cm de large, et 20 cm de haut. Je considère que ces tailles sont pour des terrariums temporaires, et non pour le long terme ou pour plus d’un spécimen. Pour plus d’information sur la tailles des installations les données de l’EAPA pour le maintien des reptiles peuvent être consultés en nouvelle galles du sud.

Les pythons pygmés peuvent être maintenu sur divers substrats incluant des graviers ( Klaas Gaikorst pers. comm.), sopalin ( Brad Maryan pers.comm.), de la terre compacte (Hoser 1999), papier journal,gravier d’ironstone ou terre cuite. Les décors peuvent être constitués de roche, spinifex ou vieilles branches. Il est important de bien fixer les cailloux et autre rocher pour éviter que les serpents ne les déplacent et ainsi éviter tous risques de blessures.
On peut enrichir l’environement de ces pythons en ajoutant une branche, sur lesquelles ils pourront grimper ou se lover. Un bol d’eau pourra être mis à disposition en permanence.


Cette espèce est nocturne quoiqu’il arrive de les observer actif dans la journée notamment en train de se réchauffer. C’est pourquoi un tube néon émettant des UVB peut être installé dans le terrarium. Une lampe chauffante où une lampe céramique peut-être utilisée, 100W suffisent, bien que cela dépendent de la taille des installations. Chaques ampoules devra être protégée pour prévenir d’éventuelles brulures. Le point chaud devra être à environ 32° avec un gradient thermique dans le reste du terrarium de 24° à 30°. Il peut-être nécessaire d’utilisé un thermostat pour maintenir ces températures. (Barnard 1996 à recommandé une température corporelle de 24° à 29,5° doit être atteinte pour les serpents terrestres). Pour atteindre ces températures un tapis chauffant peut aussi être utilisé ( Maryan & George 1998) en le conjuguant avec un tube UV une ampoule chauffante où une lampe ceramique. Pour controller les température minimales et maximales un thermomêtre peut-être utilisé.

Ces pythons vivent dans un environnement arides à l’ouest de l’australie donc ils doivent être maintenu avec une atmosphère sèche ( Hoser 1999). Cependant durant la saison de reproduction on peut fournir au femelle gravide un peut de sphaigne humide dans le terrarium ou dans la cachettes. Ce qui permet de lui fournir un lieu adéquat pour la ponte.

Les pythons muent régulièrement, suivant leur age et la quantité des repas, chaque spécimen mue plus de 6 fois par an. La mue doit être vérifié et enlevé.
Le bout de la queue et l’écaille occulaire pouvant rester. Dans ce cas il faut la où les enlever. Les restant de mue sur la queue ou l’oeil doivent être enlevé pour éviter d’éventuel complications. Les bains d’eau tiède où les pommades occulaires fonctionnent bien.

Auparavant les plus vieux A.perthensis en captivité étaient agés de 16 ans ( Barker & Barker) et de 18 ans ( Hoser 1995). A ma connaissance le plus vieil animal captif maintenant reconnu est un animal maintenue dans l’ouest de l’australie par un employé de la faune sauvage. Le serpent fut trouvé sur une route victime d’un conducteur de camion en 1978, il avait perdu son oeil droit et avait des blessures au palais. Celui-ci fut ammené au zoo et transféré à un centre de conservation de la nature (C.A.L.M) pour le soigné jusqu’en 1982 puis fut transféré au centre de soins et de conservation des reptiles. Il mourru en novembre 2002 après avoir essayer en vain de pondre ( accouplement qui ne furent pas intentionnellement provoqué par l’éleveur). Lorsqu’il fut recuillis ce python était adulte et son age estimé entre 5 et 10 ans. A sa mort il avait vécu 24 ans en captivité son age était alors estimé à 29-34 ans.

Dans la nature A.perthensis est connu pour se nourrir à 67% de reptile, approximativement 33% de mammifère ( Kend 1997). Les types de proies sont des geckos, des scinques principalement ctenotus sp. ( Barker & Barker 1994), de petits varan (Brown-cooper 1998) de petite chauve-souris(pers.obs) d’antechinus sp. ( Hoser 1989) et de petits rongeurs ( pers.obs)
Ctenotus sp:
fiche d'élevage antaresia perthensis Gc_cte10

antechinus sp:
fiche d'élevage antaresia perthensis Antich10

En captivité le python pygmé se nourrit aisément de souris d’animalerie ou de raton ( pers.obs) et sont de très bon mangeur dès qu’ils sont démarrés. Malheuresement cet espèce est très petites lorsque les jeunes viennent de sortir de l’oeuf et ont des difficulté, voir ne peuvent pas manger de souriceau ( Barker & Barker 1994 et obs.pers). Ce n’est pas l’idéal mais tout doit être tenté pour les nourrir de souris pltot que de lézards.
La méthode la plus adapté consiste à placer un morceau de queue de gecko ou de scinque dans la gueule du rosé. On peut également essayé la méthode du «scenting». Une autre méthode consiste à inciser la boite crainène de la souris et de répandre le contenu sur sa tête. Il y a beaucoup de technique pour démarrer les jeunes et il est interessant d’en prendre note.
Une fois démarrés les juvéniles grandissent rapidement.


Elevage:

La détermination des sexes se fait par sondage, la sonde s’enfonçant jusqu’a la 2 ou 3ème écaille sub-caudale chez les males contre 7 à 9 pour les femelles. Les deux sexes ont de tout petits éperons cloacaux. (Barker & Barker) Il n’y a pas de distinctions caractéristique entre les éperons des males et ceux des femelles. La têtes de males est parfois plus large que celle des femelles. La queue des femelles est également légérement plus courte et plus large à sa base, mais l’étude de ces caractéristique n’est pas suffisament fiable pour determiner le sexe avec certitude. Cela permet simplement d’avoir une idée avant que les serpenteaux soient suffisament agé pour être sondés. Les pythons pygmés sont très petits lorsqu’ils naissent ( environ 200mm), il est donc préférable d’attendre qu’ils aient atteint l’age de 12 mois au moins avant de les sonder. A cet age ils sont légérement plus robustes et mesure environ 250mm. Toutes tentatives de sondage avant cet age peut mener à la perforation des poches hémipéniennes.

Accouplement:

La reproduction en captivité d’A.perthensis n’est pas difficile et est provoquée par la modification des conditions environnementale pendant l’année. La fraicheur pendant l’hiver stimule la spermatogénèse des males et le dévellopement des follicules ovariens chez les femelles. La période froide s’étend de mai à aout. ( Hoser 1992), Hoser (1999) et Maryan et al. ( 1998) ont constaté que les tentatives d’accouplements étaient infructueuses quand les températures étaient constantes, et fonctionnait lorsque l’on programmait une période hivernale.

Vers la fin de la saison froide quand les températures journalières ont été augmentées. On en profite pour introduire les males dans le terrarium des femelles. Maryan & George (1998) introduise les males après que chacun des sexes aient muer. Les accouplements peuvent être observés début juillet et jusqu’en octobre ( pers.obs. et Hoser 1991). Ce qui correspond à la fin de l’hiver et au début du printemps. Les couples sont séparés si au bout de 2 à 3 jours si aucune activité sexuelle n’à pu être observée. Les males peuvent être élevés séparément pour le reste de la saison. Des couples ont été maintenu ensemble pendant toute l’année avec succès pour la reproduction ( pers.obs. et Hoser 1999). Cependant maintenir les serpent seuls leur permet d’adopter un comportement plus naturel.

Les copulations sont rarement observés car se passent la plupart du temps dans la boite de ponte ou la cachette.
Les copulations lorsqu’elles ont été observés était accompagné par le frottement des éperons le long des flancs de la femelle, en même temps qu’il la reniflait bouche fermée. Hoser à aussi remarqué que le male griffait la femelle avec ses éperons similairement à d’autres espèces de pythons.
Le male continuait cela en même temps qu’il faisait passé sa queue sous le ventre de la femelle exposant son cloaque.
Lors d’une copulation le male entoura sa queue autout de celle de la femelle en se plaçant parraléllement à elle.
Les accouplements peuvent durer plusieurs heures.
Si il y a suspicion d’accouplement il est judicieux d’inspecter visuellement le cloaque de la femelle. Parfois celui-ci est gonflé, du sang ou du liquide séminal peut être observé. L’inspection du terrarium peut aussi indiquer qu’un accouplement a eu lieu du fait qu’il y ait des traces de sang ou de liquide séminale.

La mue de pré-ponte intervient 26 à 30 jours après et les femelles peuvent régulièrement être observer avec le ventre en l’air dans leur boite de ponte. Des controles réguliers ont montré que la femelle se tourne des deux cotés avant de pondre.


Ponte:

Le python pygmé est une espèce très discrète, rendant les observations des femelles pondant difficile. Celles-ci préfèrent une boite de ponte compacte avec une petite ouverture dissimulé leur permettant de se cacher. Une petite boite en carton bien rempli de morceau de sopalin, avec un fond de vermiculite très peu humidifiée ou de mousse de sphaigne. Un petit morceau d’ardoise est placé sous la vermiculite pour plus de solidité.
Dans certain cas les femelles ont pondus sous les blocs de roches ou elles se sentaient en sécurité. Les pontes ont eu lieu en octobre et novembre, Hoser (1991) et Barker & Barker (1994) ont enregistré les pontes en novembre.

Les femelles ont été vues fermement enroulé autour des oeufs pendant l’incubation avec des oeufs en grappes. ( Barker & Barker 1994). Une fois une femelle fut laisser avec sa ponte quelques semaines, elle fut observée en train de trembler en se frottant aux oeufs, surement pour thermoréguler la ponte.
Malheuresement les oeufs se déshydratèrent en raison du manque d’humidité dans la boite de ponte.
Les données historiques montre que les pontes sont relativement petites de 2 à 4 oeufs. ( Hoser 1991, Barker & Barker 1994). Maryan et George ( 1998) ont obtenus des pontes de 5 et 6 oeufs. Entre 1998 et 2005 huit pontes eurent lieus avec maximum 11 ouefs et minimum 4, la nombre moyen étant de 5-6 oeufs. Sur la ponte de 11 oeufs, huit ont éclots et 3 n’était pas fécondés.

Incubation:

A ma connaissance aucune incubation paternel n’as réussi en captivité. Après l’oviposition les oeufs sont enlevés et incuber artificiellement. La perlite ou la vermiculite peuvent être utilisé pour l’incubation des oeufs de cette espèce. L’eau et la vermiculite son mélangées à raison d’un ration en poids de 1/1, puis le tout est pressé à la main pour éliminée l’excédant d’eau. La raison principale est que sans four pour la secher il est impossible de dire si la vermiculite à été empaqueté avec de l’eau. Le pressage permet de tester la consistance. ( Note: avec un four pour secher, le ratio en eau doit être de 2 à 2,5 fois plus haut qu’habituellement, la taille des grains de vermiculite peut aussi affecter ses propriétées). De la perlite à été utilisé avec un ratio de 1/1
La hauteur de vermiculite nécessaire est d’environ 5 cm avec les oeufs à moitié enterrés.
Les boites d’incubations sont des boites pour le transport des grillons ou des boites en plastiques de tailles similaires avec un couvercle qui ferme. Elles sont aérement chaque semaine. Les données limitées à cette date, ont été de 86 jours d’incubation à 28,9°, 58-62 jours à 29,5° et 60-62 jours à 30,0° ( pers.obs.) D’autre durée d’incubation ont été enregistrées à 60 jour pour 29°-30° et 45 jours à 31° ( Hoser 1981, Barker & Barker 1994).

Nouveaux-nés:

Les jeunes python pygmé sont très timide à la naissance et rentre souvent dans leur coquille d’un mouvement rapide. ( Aryan & George 1998). Ce qui est probablement due à leur très petite taille ( 200mm et 5,7 gr). Les juvéniles aussi sont extremement timide, souvent décourager pendant la prise de nourriture par un mouvement brusque de l’éleveur ou le plus petit heurt du terrarium. Les serpenteaux peuvent être maintenus dans de petits tupperware pourvu qu’ils soient bien ventilés. Le matériel incluant un substrat de sopalin, une petite roche, une cachette et un bol d’eau. Voila tout ce qui est nécessaire pour que l’animal grandisse.

La meilleur solution pour nourrir les petits est de les laisser tranquille, c’est la meilleur solution pour les demarrer. Plus l’on essaye de les forcer moins ils acceptent. Les plus timide par exemple mange lorsque l’on laisse le repas devant leur cachette.

Conclusion:

A.perthensis est un fantastique python à élever. Ils sont calmes dès mors qu’ils sont habituer, une fois adultes ils se nourrissent sans problème et n’ont pas de problèmes de santé particulier. Certaine personne trouveront l’élevage de cette especes dépourvu de challenge, mais je trouve que c’est ce qui fait le charme de ce python.



Dernière édition par chris42210 le Mer 29 Juin - 15:08, édité 4 fois
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Message  chris42210 Sam 23 Oct - 17:09

En cours de traduction....
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Message  SEREDECOTE Sam 23 Oct - 20:54

C' est long... lol!
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Message  quentin Sam 23 Oct - 20:56

moi jai pas tout comme dabe lol!
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